Ce ne sont pas les centres commerciaux non alimentaires qui sont en cause.
Sur le principe de la cause et de l’effet, c’est exactement le contraire. Ce sont les hypermarchés et supermarchés alimentaires qu’il faudrait fermer. Ce sont eux qui sont les incubateurs du virus, hiver comme été.
Comme il est impossible d’affamer la population, il faut leur imposer l’installation de lampes ou de tubes à ultraviolets. Elles mettront fin aux virus, dans toutes leurs installations réfrigérées, y compris les comptoirs surgelés.
C’est une disposition matérielle si l’on avait agi ainsi dès le mois de juin de l’année dernière, il n’y aurait jamais eu, ni de deuxième, ni de troisième vague.
Il ne s’agit pas de vivre avec le virus. Il faut tuer le virus là où il naît et là où il se développe.
La nourriture n’ est pas polluée, ce sont les surfaces qui le sont. Et c’est toute la chaîne frigorifique qu’il faut remettre en cause depuis la production jusqu’à la distribution, y compris dans les abattoirs.
C’est le zéro virus qu’il importe de constituer. Ne perdons pas de temps, la cible est bien déterminée.
Il faut agir en donnant quinze jours à tous les hypermarchés et supermarchés pour installer ces dispositifs à ultraviolets. Ils sont les seuls à pouvoir détruire les virus dans les espaces froids.
Les hypermarchés et les supermarchés ont un système de chauffage par ventilation d’air chaud. Il faudrait, pour bien faire, que l’air ambiant atteigne 30°, comme en été en extérieur.