On ne pactise pas avec l’ennemi, que ce soit le virus, que ce soit le cancer, que ce soit une entreprise, qui vous combattent.
Quand le seul but de l’adversaire est de vous détruire, voire de vous tuer, il ne peut y avoir d’entente, ni d’armistice. Souvent, l’action de ces adversaires est sournoise, invisible, insidieuse et parfois féroce, à cause de l’argent.
En tant de guerre, physique ou commerciale, tous les coups sont permis ; il n’y a plus d’interdit et chacun sauve sa peau ou son entreprise.
Le collectif, le partenariat, sous quelque forme que ce soit, conduisent nécessairement à une situation de faiblesse.
Le confinement est un partenariat avec les virus et c’est toujours la loi du plus fort qui va régner. Il arrive que l’on ait besoin du plus petit que soit pour parvenir à ses fins ou, parfois, se sauver d’une position délicate dans laquelle on s’est mis.
Oui, on réduit son adversaire et son arrogance, si l’on veut survivre. Pour le virus, c’est l’éradication pure et simple. Pour l’entreprise, c’est ne pas mettre le petit doigt là où il ne faut pas. Il faut, au contraire, s’adresser aux puissants, d’une manière financière, avec le moyen de les rendre encore plus riches.
Un corps sain, une entreprise saine, avec un système de défense au complet, est la seule solution pour progresser.
Non, on ne pactise pas, ni avec l’argent, ni avec l’invisible.
Pactiser, c’est trahir son camp. Pactiser avec le virus, c’est lui ouvrir toutes grandes les portes du mal et de la mort.
Il n’y a pas de demi-mesures : elles sont toujours sans résultat. C’est celui qui sait dire non qui gagnera. Il faut se rappeler ce précepte : on ne collabore jamais avec ceux qui veulent notre mort physique ou financière. On les éradique, on les détruit, si l’on ne veut pas mourir.