Il sera impossible de juguler l’inflation en France et en Occident sans une nouvelle santé pour tous.
Le coût du social et du sanitaire est trop lourd. Le manque de capacité et de dextérité au travail brise toute possibilité de relance à des prix compétitifs.
Il faut toujours pensé à l’adage : pas de bonne économie sans une bonne santé.
Nos capacités physiques et intellectuelles, partiellement compensées par des robots, ne suffisent plus pour une productivité nécessaire, pour conserver un social et une vie sociétale que nous nous offrons actuellement, sans en avoir les moyens physiques et intellectuels nécessaires.
Pour des raisons multiples, nous avons perdu ces moyens en moins de 100 ans.
La cause, à ce jour, est le non-respect des constantes nécessaires à une activité complète.
La principale de ces constantes est celle qui permet l’irrigation permanente en oxygène de nos cellules. La deuxième constante, c’est l’air que nous respirons et la troisième, c’est la nourriture et la boisson que nous absorbons.
Les autres constantes n’ont pas varié avec le temps, y compris la constante du magnétisme solaire qui fait battre notre cœur.
L’inflation n’est pas seulement un problème d’argent mais, avant tout, de santé.
Toute dérive aux constantes écourte la vie
- L’univers a ses constantes
- Notre galaxie a ses constantes
- Notre planète a ses constantes
- Notre vie a ses constantes.
Toute dérive, toute variation de ces constantes, écourtent la vie de l’univers, de nos galaxies, de notre planète et de notre vie, et cela se produira si on n’y prend pas garde.
C’est tous les jours qu’une étoile disparaît. C’est tous les jours que des hommes meurent. A chaque fois qu’une constante n’est pas respectée dans l’univers, c’est une galaxie qui explose et provoque un trou noir.
En ce qui nous concerne, il importe donc de réguler les dérives et les variations de ces constantes, pour une vie plus longue, en pleine lumière et en pleine forme.
Aujourd’hui, on régule le chaud et le froid, on régule le temps de sommeil et d’activité, on régule autant que faire ce peut l’air que nous respirons.
On a oublié de réguler les pressions atmosphériques qui, en définitive, sont les seules causes des cancers et des grandes maladies.
Préserver nos constantes, c’est éviter la fatigue, la vieillesse, c’est maintenir notre défense immunitaire, c’est conserver toutes nos forces et toutes nos facultés.
