n’étaient pas les bonnes »…
Cette réponse, c’est sa propre critique, dès lors qu’il était Ministre de la Santé.
Car ce n’est pas aux scientifiques de décider, c’est au Ministre en charge. C’est
une manière comme une autre de se défausser… peu élégante.
Le COVID a fêté sa troisième année et il revient en force à raison de 80 000 cas
par jour. Et l’on sait que c’est le froid et l’humidité qui contribuent au
développement du COVID et ce n’est pas faute de l’avoir proclamer.
Et pourtant, la solution est d’une simplicité déconcertante :
1) On éradique le virus en le projetant sur un rideau de feu constitué par la
résistance électrique d’un radiateur soufflant. La seule chose qui puisse
varier, c’est l’importance de ce radiateur en fonction du cubage à
purifier : pour un appartement de deux ou trois pièces, un petit radiateur
d’appoint de 2 000 watts suffit largement. C’est la solution la plus simple
et la plus rapide.
2) On peut aussi éviter la destruction de notre système immunitaire en
mettant fin à tout ce qui le détruit tous les jours par les forces naturelles
qui interrompent la circulation du sang dans nos vaisseaux et privent nos
cellules d’oxygène.
Les injections d’anticorps qui nous sont faites tous les trois mois ne mettront
pas fin aux virus. C’est une solution provisoire dangereuse et fort coûteuse.
C’est comme une armée à laquelle on rajoute des soldats dont on sait
parfaitement qu’ils vont être tués. Comment peut-on appeler une telle solution
proposée et effectuée ?
Ce qui est plus grave, c’est que ces anticorps injectés vont venir s’ajouter, tous
les trois mois, aux cellules déjà mortes et l’on va tout droit à un risque de
cancer.
La solution proposée n’est pas médicale, elle est purement financière. Pour ma
part, j’ai proposé des solutions gratuites qui ne semblent pas avoir encore eu
un écho suffisant, à ce jour. Et quand on échoue d’un côté, il serait peut-être
Pompes funèbres – n° 05 – 29092022 – Parution le 6 octobre 2022
utile de se diriger vers une autre solution ; mais comme le dit Monsieur
Macron : on va « vivre avec » et l’on va s’y habituer…
Ne trouvez-vous pas que c’est beaucoup d’ajouter cela au cancer, au COVID, à
la grippe, à toute autre grande maladie, et quoi encore demain quand on sait
que toutes les maladies proviennent d’un problème de cellules que l’on ne veut
pas protéger ?
Ce n’est pas que moi seul qui le dise mais aussi nombre de scientifiques. On
finira par faire de l’homme un zombie qui devra passer à la pompe tous les
matins pour se faire injecter des anticorps…
Et nous voilà en route pour 3 500 milliards !
Évidemment, on va dire que c’est l’Ukraine qui en est la cause…
Quand on voit l’obole qu’on lui fait, on s’inquiète, car l’obole qui va à l’Ukraine
ne dépassera pas les 30 milliards alors qu’on va faire un emprunt de 270
milliards sur les marchés.
Le Général de Gaulle disait : emprunter de l’argent, c’est se mettre dépendant.
Pauvre France : réveille-toi ! Et ce n’est pas d’aujourd’hui que Jacques Chirac
disait : « la France est en faillite et la maison brûle ». Aujourd’hui, il n’y aura
même pas de pétrole pour allumer le feu…
Beaucoup plus grave encore : les taux d’intérêts aujourd’hui sur les marchés
oscillent entre 2 et 4%. Et, en prenant une moyenne de 3%, c’est 90 milliards
qui s’envolent en fumée, chaque année.
Alors : que faire ? N’est-il pas possible de prendre des mesures rationnelles
pour qu’on évite de vivre au-dessus de nos moyens ? Car, de toute façon, cette
solution nous conduits directement dans le mur et la faillite.
Il nous faut aussi remettre en cause notre système de financement du social car
la manière qui est utilisée paralyse nos exportations et notre pouvoir d’achat.
On a choisi la solution de facilité en achetant dans les pays telle que la Chine
mais aussi en Europe dans les pays de l’Est. On a détruit notre industrie. Il
Pompes funèbres – n° 05 – 29092022 – Parution le 6 octobre 2022
faudra, une fois pour toute, comprendre que le social, c’est l’affaire de l’État et
non celle du travail.
Oui, il va falloir produire plus et vendre plus mais, pour cela, il faut être
compétitif. L’inflation qui a lieu actuellement devrait profiter à nos
exportations mais nous n’avons plus d’industries pour produire.
Faire toujours de plus en plus d’actions sociales : pourquoi pas ? Mais le jour où
l’on ne vendra plus rien par manque de compétitivité, il n’y aura plus de social.
Autrement dit, on a pris des chemins de traverse au lieu de prendre les
autoroutes. On est dans le cas d’une boule de neige partie du sommet de la
montagne et qui se transforme en avalanche en arrivant dans la vallée.
On se flatte sans arrêt d’avoir la meilleure santé du monde et le meilleur
service médical du monde et même le meilleur service social, tout cela pour se
faire élire et pomper sans arrêt dans les caisses de l’État avec des salaires
mirobolants.
La natalité s’écroule, le médical soigne mais n’évite rien et conduit à la mort.
Acceptera-t-on, un jour, de réaliser qu’il faut dompter la nature pour mieux
vivre ou simplement pour vivre ?