C’est une descente aux enfers et la France porte le drapeau de cette descente. Quelles en sont les causes ?
Bien sûr, on continue à vivre mais souvent dans des conditions qu’on ignore. En moins d’un siècle, on a multiplié le monde médical par cinq. On a créé des hôpitaux en tout genre. On a dévalorisé le diplôme de la médecine à tous les niveaux. Le travail des élèves et des étudiants est tout aussi important mais il n’a plus le même résultat. Il faudrait peut-être se poser la question du pourquoi.
L’ouvrier, le contremaître, l’ingénieur, n’apportent plus l’énergie nécessaire parce qu’ils ne l’ont plus, pour découvrir et appliquer des techniques nouvelles.La totalité des femmes et des hommes n’apporte plus, ni physiquement, ni intellectuellement, ce qu’une personne en pleine santé pourrait faire.
Certes, on vit plus longtemps qu’il y a cent ans, mais dans quelle condition de vie ? Celle qu’ont imposée les hôpitaux, c’est aussi une vieillesse qui poursuit ses ravages.
Tout ceci nécessite un grand chambardement. Est-ce volontaire ? Non. C’est l’invisible qui a pris le dessus et que l’on ne veut pas voir. Et pourtant, si la nature nous a donné la vie, elle la reprend un peu facilement par ses dérives qui sont la seule cause de toutes les grandes maladies.
Notre potentiel humain, qu’il soit physique ou intellectuel, nous conduit dans un mur parce qu’on est incrédule. Aujourd’hui, la médecine, c’est le mur de l’argent. On ne cherche plus à apporter des solutions ni à découvrir les causes : on cherche à faire de l’argent.
On est bien obligé de constater que la force physique et intellectuelle se dégrade de jour en jour. Il faut stopper notre descente aux enfers par un combat, par la simplicité, par l’évidence.
Vivre plus longtemps, en pleine forme physique et intellectuelle, c’est ce que je propose. Pour ce faire, il faudra défier la nature en la régulant et en éradiquant ses parasites avec qui nous ne pouvons pas cohabiter.
N’ayons pas honte de dire la vérité et d’y apporter des solutions. C’est peut-être cela qu’on appelle sortir de l’ordinaire.
Que faire pour vaincre notre incrédulité
Ce sera difficile car ce que propose peut mettre fin à un commerce, à une spéculation médicale. La médecine s’est emparée de l’homme. Elle veut nous faire croire qu’elle détient la vie. J’aurais un peu tendance à dire que c’est comme Poutine quand il envahit l’Ukraine : il compte surtout les morts…
L’incrédulité : comment va-t-on pouvoir y mettre fin ? Certes, il y a le bouche à oreille et les réseaux sociaux mais les chars d’assaut de la médecine, comme ceux de Poutine, continuent à progresser. Il n’y aura pas deux solutions pour gagner la guerre : il faudra les détruire.
La médecine d’aujourd’hui fait plus de morts qu’elle ne sauve de vies. Je pense que mes découvertes vont sauver plus de vingt millions de personnes sur la planète, chaque année, et plus encore, redonner force et bien-être à l’homme.
Ne pensez-vous pas que l’Etat devrait les prendre en compte ? Mais est-ce trop demander ? Il est vrai que nous allons vivre dans un nouveau monde mais chacun semble vouloir défendre sa place et son confort.
Est-ce qu’un nouveau gouvernement acceptera, dans ses prévisions politiques, que demain on vive jusqu’à 150 ans ? Quel bouleversement dans notre société mais quel bonheur aussi : mettre fin à la vieillesse, mettre fin à la fatigue, mettre fin aux souffrances, du plus grand nombre. N’est-ce pas vraiment la bonne voie ?
En fait, aurait-on peur de vivre en pleine forme plus longtemps ? Et ce, sans médicaments ni potion magique ? Le futur n’est pas seulement de bien vivre mais de vivre en pleine forme et beaucoup plus longtemps, le temps nécessaire peut-être pour aller et revenir découvrir d’autres étoiles dans d’autres galaxies.
Quel beau voyage pour l’éternité.