Notre corps : une usine à gaz

Cette usine tremble à chaque fois qu’il y a un manque ou une suppression d’oxygène.

Ce gaz-là, c’est l’atmosphère, c’est l’oxygène, dont les pressions ne cessent de varier au cours des jours et provoquent un désarroi de nos cellules qui meurent ou se suicident quand leur environnement change. Et l’usine doit sans cesse les remplacer, ce qui entraîne une absorption considérable d’énergie.

Il nous faut donc réguler la cause pour établir la fonction normale et stopper le renouvellement massif qui peut entraîner une grande fatigue, et plus grave encore, la mort de l’usine de notre corps.

Nos cellules ne sont pas des feux follets, elles ne demandent qu’à vivre longtemps et se régénérer pendant un temps long.

Oui, j’essaie d’imaginer cette usine afin d’expliquer les défections progressives de nos leucocytes. Un pays sans armée est en voie de disparition. Un corps sans leucocytes est voué à la mort.

Il  nous faut donc neutraliser la cause. C’est tout l’objet d’Hygée.

Les deux-tiers de l’année

Deux jours sur trois sont sous l’influence des variations de pressions atmosphériques très hautes ou très basses ; le reste du temps, la pression est à 1013 millibars.

Cette pression à 1013 est aussi importante que notre température interne du corps à 37°. Au-delà, de part et d’autre de 1013 millibars ou de 37°, commence un processus vital très dangereux.

Pour les 37°, on stoppe l’infection qui en est la cause. Pour la pression, il nous faut la réguler. Car l’un et l’autre conduisent inexorablement à des souffrances inacceptables. Dans les deux cas, on va assister à un combat entre les intrus et les leucocytes et, à terme, à l’apparition  d’un cancer.

Avec Hygée, nous allons assurer la régulation de cette pression.

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