Ni le tabac, ni l’alcool, ne sont la cause des cancers.
Ils sont les facilitateurs de la phase finale d’un cancer par l’infection.
La seule cause des cancers sont les pressions atmosphériques et ce, dès la formation de l’embryon.
Nous supportons durant toute notre vie une forme de cancer qui n’est qu’une construction. Cette construction peut durer des dizaines d’années en affaiblissant, d’ailleurs, le système immunitaire de l’homme, entraînant une fatigue anormale et une capacité physique et intellectuelle qui se réduit au cours des années.
Cette cause peut être régulée.
On a tous quelque chose à se reprocher
Soit d’avoir mal fait, soit ne de pas avoir encore assez fait.
Il y a tout à faire. Une tortue a vécu, à ce jour, 188 ans. Il y a des arbres millénaires. Et l’homme ne vit que 80 ans, en moyenne.
Il y a quelque chose qui ne tourne pas rond. Mais quoi ? On est persuadé, par habitude, que l’homme ne peut vivre que 80 ans en moyenne. On n’a pas su faire le nécessaire. On n’a pas su mettre les conditions de vie nécessaires pour que l’homme puisse vivre beaucoup plus longtemps.
On a fait de notre vie une durée dérisoire et nos chercheurs, par cupidité, s’en sont contentés. La médecine, en général, a sombré dans cette cupidité.
Être riche est important : on se croit tout permis et l’on creuse un fossé entre deux mondes, celui des grands et celui des petits. La vie des autres ne compte pas.
La médecine a refusé de faire face à la maladie et à la mort. On lui a dit que l’homme ne pouvait pas vivre au-delà de 80 ans et elle l’a cru.
Alors, pourquoi ne pas donner une nouvelle chance de vie à tous ? Plus longue et en pleine forme. Certes, notre système économique va être bouleversé mais demain, il suffira de couper le fil de la vie pour l’éteindre, en toute liberté.