Il n’y aura ni de deuxième vague, ni de retour du coronavirus à moins que l‘on ne veuille à nouveau importer un nouveau virus « à pas cher ».
Le grand chambardement, le grand soir, ne sera pas au rendez-vous espéré par certains. En revanche, la peur qui est parfaitement entretenue, pourra faire plus de dégâts dans tous les pays occidentaux qui se croyaient plus forts que la nature mais aussi sortis de la cuisse de Jupiter.
A mon avis, l’absence de masques, l’imprévision, auront provoqué plus de 20 000 morts supplémentaires. Car, si l’on prend les chiffres du 1er janvier au 30 avril 2020, les décès en France n’auront progressé que de 1 à 2%. Parmi ces morts, une partie serait aussi disparue, de toute manière, en raison d’autres pathologies.
Ce que l’on ne nous a pas dit, c’est que ces masques, il y en avait, mais ils étaient réservés pour des militaires. Il y en avait plus d’un million mais ils étaient bien gardés à juste titre par les militaires. C’est ce qu’on appelle : les réserves stratégiques telles que les trois à six mois de réserve de pétrole en cas de conflit.
En fait, aujourd’hui, chiffres à l’appui, il y a plus de dix fois de raison de mourir du cancer que du Covid-19.
A la fin de cette année, il n’y aura pas davantage de décès en France et peut-être moins que d’habitude. Et, l’année prochaine, il y en aura encore 10% de moins car on aura pris conscience qu’il faut se protéger, qu’il faut réguler ce qui est la cause de nos morts.
Dans les vingt ans à venir, il y aura moins de 450 000 morts en France, chaque année, au lieu de 600 000 actuellement, par la seule raison qu’on a découvert la cause des cancers et des maladies cardio-vasculaires.
La peur qui est engendrée fera davantage de morts que la maladie. Elle fera surtout plus de pauvres, plus de misère, plus de chômeurs. On en a déjà bien assez.
La crise économique, qui était déjà prévue depuis plus de deux ans, laissera sur le terrain économique plus de cadavres que le Covid-19. A cette crise économique, il faudra préparer des mesures proches d’une révolution économique.
Décidément, nous n’avons pas voulu éradiquer les maladies. Nous n’avons pas su empêcher la crise économique. Nous n’avons pas su conserver nos industries et, sans le retour de l’enfant prodigue sur le chemin de la France, la crise fera d’énormes dégâts.
Et nous savons comment faire pour éviter encore ces morts. Si nous ne le faisons pas par incompétence, il faudra que ce soit le peuple qui l’impose, car le peuple ne veut pas mourir.
Pourquoi aller chercher des solutions de sauvegarde quand on peut faire très simple par un transfert des charges sociales sur le budget de l’Etat ?, faut-il encore le vouloir.
Rappelons-nous tout de même que faire marcher la planche à billets, c’est réduire d’autant l’actif des Français : ne nous laissons pas piéger, conservons notre sang-froid et notre esprit de découverte.