Monsieur Poutine, entendez-vous le sifflement des F16 et des Mirages qui arrivent à l’horizon de Moscou ? Regardez bien l’Ukraine et le pont de Kertch car vous ne les reverrez plus jamais.
Regardez bien vos puits de gaz et de pétrole : ils sont en feu.
C’est fini Monsieur Poutine : rendez votre tablier. Votre peuple est en furie : il manque de tout.
Vous ne serez jamais une star, car vos jours sont comptés.
Tous ceux qui voulaient vous protéger ont abandonné le combat et protègent à présent l’Ukraine.
Vous aviez souhaité prendre l’Ukraine en quelques jours : regardez ce qui est arrivé. Vous avez réussi à prendre quelques hameaux en les rasant et vous avez perdu, rien qu’au mois de mai de cette année, 30 000 hommes en un mois.
Monsieur Poutine, 30 000 hommes, c’est plus de 100 000 familles qui sont en deuil.
L’occident a traîné à envahir la Russie mais aujourd’hui la décision est prise et l’Ukraine aura fait un travail colossal pour prendre les clefs de la Russie.
Aujourd’hui, c’est en quémandeur que vous vous êtes rendu en Corée du Nord. Vous avez besoin d’hommes et de munitions, et vous entraînerez la Corée du Nord dans votre défaite.
C’est fini, Monsieur Poutine. La paix reviendra en Russie, mais sans vous.
Une vie en pleine forme…
Le jour où on vivra en pleine forme, très longtemps, dans le monde entier, sans aucune différence de couleur ni de religion, pourra-t-on éviter la guerre ?
On pourra alors considérer la guerre comme un abus de pouvoir de l’homme. Mais, quand on est bien chez soi, on ne va pas chercher ailleurs.
Si dans un pays tout le monde se porte bien, il y a peu de chance qu’il aille chercher querelle aux pays limitrophes.
Le temps des tsars est dépassé. En revanche, la visite de l’espace est à l’ordre du jour et il y a tant à faire. Mais cela ne se fera qu’avec un homme proche de l’éternité. On ne peut aller vers l’infini sans être éternel.
Détruire n’apporte rien. Construire, innover, organiser sa vie, une vie en pleine forme à l’abri des écueils de la nature terrestre en folie, est la solution.
Tous au travail, sans fatigue inutile, en conservant la totalité de nos facultés, permettra de faire un bon dans l’espace et peut-être à la rencontre d’autres hommes.
Se préparer à ce futur ne peut être dans des programmes de politiques parce que la santé est trop souvent oubliée.