Ma vraie peur

Ma vraie peur n’est pas de m’être trompé dans mes calculs, dans ma
réalisation, mais de ne pas m’être trompé.
Si je m’étais trompé, on reviendrait à la case départ et on continuerait à subir.
Si je ne me suis pas trompé dans mes calculs et mes réalisations, ce sera ma
grande peur car ce sera un grand chambardement vers un nouveau monde.
Par cette découverte, la Terre comptera entre 10 et 12 milliards d’habitants en
2070 et la France plus de 100 millions en 2090.
La Sécurité Sociale économisera 100 milliards d’euros, chaque année, en soins
et autres. Il y aura moins d’hôpitaux et j’espère davantage d’écoles.
L’immobilier fera un bon pour pouvoir loger tout le monde. Le PIB progressera
de 50%.
On travaillera jusqu’à 100 ans, en pleine forme et l’on prendra une retraite qui
durera 50 ans, toujours en pleine forme. Il est fort probable que l’on ne
travaillera plus que 25 heures par semaine et pendant 4 jours.
Tout notre tourisme va exploser et, en travaillant moins, on produira plus par
un maintien de toutes nos capacités, de toute notre dextérité, pendant 150
ans. La fatigue et la vieillesse auront disparu.
Dans le monde nouveau, on n’utilisera plus, ni pétrole, ni gaz de pétrole. Le
réchauffement climatique, avec les mini-centrales nucléaires installées dans les
déserts, sera du passé : il n’y aura plus de réchauffement climatique.
Mais soyons certains que dans ce nouveau monde, la Terre continuera de
tourner normalement et le soleil de briller tout autant.

La maladie, la vieillesse, pèsent trop lourd

La maladie, la vieillesse pèsent beaucoup trop lourd dans notre vie, dans notre
imaginaire ; elles nous font souffrir près de 50% de notre vie, sous une forme
ou une autre, ne serait-ce que par la peur.

Pompes funèbres – n°06 – 040423 – Parution le 10 avril 2023
Peut-on le pallier et rendre à la vie sa plénitude, son espérance, ses joies, son
bonheur ? Je le crois, en considérant les folies de la nature, ses dérives, comme
des causes essentielles, voire vitales, de tout cet éventail de souffrances
inutiles.
Vous n’avez, comme meilleur exemple, que la température interne de notre
corps qui est de 37° et si elle dérive de 1, 2 ou 3 degrés, c’est la panique et,
pour le moins, l’alerte. Il en est de même pour la circulation du sang : toute
entrave à cette circulation ouvre un champ de bataille face à face entre nos
cellules et l’oxygène nécessaires à la vie.
Les pressions atmosphériques creusent les tranchées sur la ligne de front, et
l’oxygène les comble. La victoire sera à ceux qui auront les meilleures armes,
les plus puissantes, pour vaincre les causes et éviter les ruptures de circulation
dans le sang.
Et notre arme, à nous, c’est le régulateur de circulation, dénommé Hygée.

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