Non, le Général de Gaulle est toujours présent. C’est de son concept qu’il ne reste plus que les braises. Et quand vous en avez parlé à Londres, Monsieur le Président, vous n’avez certainement pas pensé qu’il faudrait un cyclone pour raviver ces braises.
Le Président de la république sera-t-il capable ou souhaitera-t-il raviver les braises d’un concept qui a fait vivre la France ?
Le Général de Gaulle est devenu une icône mais il est plus que jamais présent. Souffler sur les braises de son concept serait demander son retour une troisième fois pour sauver la France. Après tout, on a toujours dit « jamais deux sans trois » !
Oh ! Il faudra, Monsieur Macron, un souffle hors du commun pour raviver les braises du concept du Général de Gaulle. Vivons donc d’espérance.
La France, au cours de sa longue histoire a eu de ces hommes d’exception. Ces hommes ont dû prouver qu’ils étaient l’exception par des décisions, par des faits, par des textes ; même Napoléon a laissé dans l’histoire le Code Civil et le Code Pénal.
Aura-t-on un jour l’honneur de suivre le Code Macron ! Rien n’est impossible à l’homme quand il le veut. Mais il est vrai qu’il doit oublier ce qu’il a appris à l’école. De Gaulle a toujours dit qu’il est préférable d’avoir peu de chercheurs qui trouvent que des chercheurs qui cherchent.
Redonner à la France, même dans le cas d’une mondialisation, sa grandeur, son imagination, son esprit de liberté, de fraternité et d’égalité, ce n’est pas une moindre affaire.
Si les recherches peuvent être techniques pour résoudre des problèmes, il importe d’abord d’appliquer le bon sens et de faire le constat.
Monsieur le président, j’ai cassé les monopoles grâce à l’appui des Présidents précédents. Il me reste à espérer que vous m’aiderez à casser le monopole du médical qui, par ses dictats, cause énormément de morts. Un monopole ne peut être l’affaire que de quelques-uns qui exploitent les autres. Un monopole, c’est la privation de liberté d’agir et de penser.
Alors, debout la France ! Debout Monsieur Macron : c’est vous qui êtes aux commandes. Nous ne pouvons seulement que vous apporter notre bon sens dans l’intérêt général.
Ce sera très difficile mais je me rappelle la phrase que m’a dite le Général de Gaulle lors de notre rencontre : « jeune homme, il faudra toujours persévérer ». J’avais vingt ans et depuis j’ai toujours persévéré et, par mes combats, je suis parvenu à mettre fin à des monopoles et, à présent, malgré mes 80 ans, je mènerai un combat pour éradiquer les maladies et mettre fin à un monopole médiéval, ancestral et dictatorial.
Oui, j’ai trouvé des causes qui pourront mettre fin aux cancers et aux grandes maladies et protégeront la vie en la rendant plus longue, en pleine forme. Ce sera valable pour les Français mais peut-être aussi pour l’humanité.
Je ne suis pas un grand intellectuel au sens que l’on donne aujourd’hui. On oublie souvent que le savoir n’est qu’un outil. Je ne suis qu’un petit ingénieur français qui aura consacré sa vie à la liberté contre la spéculation qui rend de la vie un enfer.
Merci pour tout, Monsieur le Président. Les Français attendent beaucoup, beaucoup de vous, mais vous n’y parviendrez qu’en éliminant ou en réduisant la puissance de l’argent.