Ils seront nombreux à partir dans ce train mais il y en aura très peu qui en reviendront miraculés.
Dans ce train, il y aura la santé, le travail, l’énergie, le climat et sa régulation, sans oublier le désert. Voilà le train de la vie à laquelle les Français sont attachés :
- La santé, le sanitaire, est un secteur où l’on a perdu pied faute d’avoir pris le bon chemin. Il faut revenir aux techniques naturelles mais pour cela, il faudra un miracle.
- Le travail a perdu sa noblesse en le collant au social. La mondialisation a bouleversé ce système qui date de 80 ans. Et là, nous avons la solution : ce ne sera pas un miracle. Il faut redonner au travail la possibilité d’être compétitif et de produire à des prix compétitifs. Il faut redonner au social, pour tous, sa place dans le budget de l’État, c’est-à-dire de la part de tous.
- L’énergie ! Il faut arrêter de disperser 80% de l’énergie produite dans les transformateurs et dans les lignes aériennes. Et là, il faudra un miracle pour le faire comprendre à nos dirigeants. Diviser le prix de l’énergie par dix, c’est possible et là, il n’est pas nécessaire qu’il y ait un miracle.
- Réguler les excès du climat et des pressions atmosphériques : il n’est pas nécessaire pour cela de faire un miracle, nous en connaissons la solution.
La pollution ! Par un moyen naturel, l’hydrogène qui est l’atout pour éviter toute pollution.
- Les déserts, le réchauffement climatique, ne nécessitent pas un miracle, heureusement. Ils nécessitent simplement un peu de bon sens pour en remettre en culture une partie.
En fait, le train de Lourdes ne suffira pas car les miracles sont rares mais, dans cette France, il est possible que le divin puisse apporter des solutions et faire des miracles exceptionnels. Les acceptera-t-on ? Ce n’est pas si sûr.