La vie n’est pas un produit de consommation

La vie a ses constantes selon un curseur qui peut être différent de l’un à l’autre, mais celles-ci demeurent des constantes dans le temps.

Les arbres peuvent être multi centenaires et continuer à vivre dans les charpentes de nos cathédrales ou dans des statues, durant des millénaires. Pour ce faire, il nous faut les protéger du feu et des insectes.

Notre vie n’est pas un produit de consommation. Il nous faut éviter que, dès le premier cri, la vieillesse et la maladie s’en emparent.

Aujourd’hui, on protège plus et on consacre plus d’argent pour sa voiture que pour sa vie. La voiture, on la détruit en lui faisant consommer des produits toxiques pour elle et son entourage. Demain, l’hydrogène contenu dans l’eau y mettra fin.

Il en est de même pour notre vie, on se laisse assaillir par des phénomènes naturels dont les dérives nous détruisent. A présent, on peut réguler ces dérives pour une vie multi centenaire, en pleine forme et l’on n’entendra plus dire : « je veux mourir, je souffre trop », ou encore tristement : « il a vécu »… ou « il a passé », (Guy de Maupassant).

C’est fini, nous allons rendre notre vie agréable, à l’abri des monstres de la nature et, tout spécialement, des dérives dont les pressions peuvent être mortelles : il s’agit des pressions atmosphériques et ce, dès notre premier cri.

Non, la vie n’est pas un produit de consommation : donnons-lui sa chance.

La Russie et la Chine disent avoir le temps pour elles

Moi, je vous dis avoir la durée de vie pour l’homme et pour l’Occident ; quel que soit le temps qui passe, le plus important est de donner à l’homme sa vraie durée de vie qui, mathématiquement, est de 180 ans.

Ce que je propose n’a rien de médical, c’est tout simplement si simple de réguler les dérives de nos constantes.

Dire qu’on fera demain ce que l’on peut faire aujourd’hui va à l’encontre du dicton « il vaut mieux faire aujourd’hui ce qu’on pourrait faire demain ».

La France sera la tête de pont de cette évolution logique, véritable révolution sociale et économique. Eviter la souffrance, c’est gagner du temps productif, c’est aussi prévoir notre futur.

Non, on n’a pas le temps pour soi, il faut le générer pour un autre monde, plus proche d’un paradis terrestre. Le travail ne sera plus une obligation mais un souhait de l’homme.

Il faut vivre dans notre temps et assurer le temps futur.

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