Il vaut mieux fournir des vaches à l’Afrique qu’être la vache à lait de ce continent. Ceci est valable pour la France comme pour la Russie.
Il est préférable que ce soit les Africains qui produisent leur lait. Pour nourrir la vache qui va falloir produire du lait en Afrique, il faut remettre les déserts en culture. Dire que ce n’était pas possible hier, l’est aujourd’hui.
Pour ce faire, il faut de l’énergie et les mini centrales nucléaires au thorium sont y tout à fait adaptées. Avec cette énergie, on pourra pomper l’eau des immenses nappes phréatiques qui ne manquent pas.
La culture africaine est ce qu’elle est. Ne serait-il pas possible de faire travailler sur place tous ceux qui quittent leur pays pour un eldorado qui ne le sera pas ? Ils atteindront peut-être l’Europe mais ce sera encore pire que chez eux.
En Afrique, on a un atout majeur qui est le soleil souvent très utile pour la culture des fleurs, des fruits et des légumes, sans oublier les bois qui constituent une réserve naturelle exceptionnelle pour notre société. Il suffit d’y verser un verre d’eau chaque jour pour certaines espèces qui n’en demandent pas davantage.
On pourra aussi élever du bétail car l’herbe recommencera à pousser sous des cieux plus cléments qui apporteront la pluie.
C’est toute une chaîne qu’il faut reconstituer avec les travailleurs de ces pays ; donnons-leur des vaches, donnons-leur des mini centrales au thorium et notre propre climat européen changera ; on ne parlera plus du réchauffement climatique.
Mentir aux Français n’est pas glorieux
Sera-t-on conduit un jour à se servir de la tirelire de nos enfants ?
Après avoir pris leur bas de laine aux Français, voilà maintenant qu’on va se servir des réserves de nos retraites !
Mais quand cela s’arrêtera-t-il ? Où est l’objectif ? Est-ce la solution ? Ne devra-t-on pas un jour comprendre qu’il faut produire plus et dépenser moins, et pas nécessairement en travaillant plus mais avec toutes nos facultés et nos capacités intellectuelles ?
L’inflation est un pont d’or pour ceux qui ont des dettes, et l’enfer pour ceux qui ont économisé.
On a l’impression que l’Etat est au bout de ses forces et que l’inflation continuera encore très longtemps. Ceci me fait penser à la situation de la France en 1958.
Trouvera-t-on encore un Général de Gaulle pour y mettre de l’ordre : c’est moins sûr. La situation internationale d’aujourd’hui n’est plus la même. C’est pire qu’un enterrement, c’est un massacre.
La France, aujourd’hui, se trouve en queue de peloton dans toutes les compétitions économiques et sociales. Notre économie va à volo. Il va falloir beaucoup de courage pour remonter la pente.
Si la France était une entreprise, il y a longtemps qu’elle serait mise en faillite et sous tutelle.
Il faut réagir vite mais pas n’importe comment. L’essentiel aujourd’hui est de redonner la santé aux Français, et tout de suite.
