Quand il y a une panne d’électricité dans une maison, la première idée est d’aller voir le compteur, le disjoncteur, la source : c’est logique.
En médecine, quand il y a un malade, la première idée est de chercher le médicament que l’on va pouvoir administrer au patient.
Chercher la cause est bien secondaire. C’est ainsi que l’on aboutit au « je ne sais pas » des médecins : ce n’est pas logique.
Les écoles de médecine n’apprennent pas la logique.
On fait prendre aux étudiants de mini sentiers pour calmer la souffrance mais on ne leur apprend pas la logique qui serait de chercher la cause. Il n’y a pas de maladie sans cause.
Il peut y avoir des blessures par accident ou par choc.
Dans ce cas, la première des choses à faire est de renforcer le système immunitaire pour engager les petits soldats au front mais la blessure ou l’accident ne représentent que 10% des décès en France. Les autres 90% ont toujours la même cause, un système immunitaire défaillant, que vous soyez jeune ou vieux.
Et comment conserver son système immunitaire à 100% ?
Tout simplement en évitant de le détruire par une rupture de la circulation dans les micro vaisseaux, rupture provoquée par un environnement qui, par pression ou occlusion, va aplatir les micro vaisseaux.
Pourquoi ne pas avoir pensé à maîtriser les pressions atmosphériques d’une nature en folie ? On me dit qu’on n’y a pas pensé : j’ai peine à le croire, mais il faut se rendre à l’évidence.
Affronter les excès de la nature n’est pas nouveau
Affronter les variations des pressions atmosphériques relève du « on n’y a pas pensé ». En revanche, on a pensé à réguler le chaud et le froid ainsi que le taux d’oxygène dans le sang.
On n’a jamais pensé que la nature avait une arme mortelle et les variations des pressions atmosphériques sont l’arme la plus redoutable.
Elle vous fait vieillir et perdre la vie et même toutes vos facultés alors que vous venez à peine de naître.
Priver nos cellules d’oxygène est un suicide.
En fait, c’est la nature qui commence la guerre et qui franchit les frontières qui ont été fixées pour la vie.
La vie est une et entière et ne supporte aucune grande variation. Pour le chaud, pour le froid, on a mis des radiateurs et des climatiseurs avec thermostat.
Pour les cellules qui sont des êtres vivants, elles ont un besoin absolu d’oxygène et ce sont les micro vaisseaux qui apportent ce viatique.
Couper le fil ou le petit vaisseau : il n’y a plus d’oxygène pour les cellules et il n’y a plus de vie.
Réguler les pressions atmosphériques à 1013 millibars, soit 1kg/cm2, qui est la norme, n’a rien d’exceptionnel et évite la mort.
Autrement dit, vivre très longtemps et beaucoup plus longtemps qu’aujourd’hui, en pleine forme, c’est la logique mathématique qui n’a rien à voir avec la médecine.
Et si vous voulez, les uns et les autres, me faire des procès, sachez que j’ai l’habitude de les gagner parce que c’est le bon sens, parce que c’est l’évidence.
La vie, notre vie, n’appartient qu’à nous, pas à la médecine.
