La réindustrialisation

Sans une réforme du financement de notre système social, la réindustrialisation sera un combat perdu.

Produire est une chose, pouvoir vendre en est une autre.

Dans ce cadre de mondialisation, exporter nécessite la compétitivité.

On va fabriquer des batteries, on va fabriquer des panneaux solaires : tous deux sont condamnés d’avance :

  1. pour remplacer les carburants carbonés, il faudra des moteurs thermiques à hydrogène ; les piles, les batteries sont déjà du passé
  2. faire des panneaux solaires, oui, mais ce n’est qu’un palliatif intermittent ; la solution se trouve dans les minicentrales nucléaires pour produire l’énergie de demain.

L’industrie française n’est plus qu’une usine d’assemblage, et souvent de produits importés.

Hygée, que nous construisons, représente un marché de 22 millions d’appareils, rien que pour la France et de 300 millions pour l’Europe.

Et  il est le seul à exister, au monde, un monde qui nécessitera à terme 3 milliards de ce type d’appareil.

Oui, on peut prévoir en France un futur qui nécessitera la construction d’un nouveau monde où la vie, la santé, seront dominantes.

Ne rejetons pas les bonnes volontés, aidons-les, Monsieur le Président, et je suis certain qu’il y a encore, pour beaucoup, de nouveaux matériels à créer et à produire.

La médecine, un échec cinglant

Face aux grandes maladies, face au vieillissement, face à la mort, la médecine a échoué.

Et c’est dans ce contexte que la technique et la mécanique prennent le relais pour mettre fin aux

grandes maladies, à une vieillesse désastreuse dans 90% des cas et avec une mort bien prématurée.

Et ce, après une vie jonchée d’accrocs et beaucoup trop courte.

Avoir doublé de vie depuis 100 ans,

ce n’est pas une prouesse quand la technique a multiplié ses exploits par mille.

Nous avons aujourd’hui un Conseil de l’Ordre des Médecins qui empêche

tous les médecins de France, de progresser dans leur métier.

La médecine a pris un mauvais chemin ; il nous faut redresser la barre pour éviter d’aller à la

dérive, une dérive qui est accentuée par les laboratoires pharmaceutiques destinés à faire de l’argent et si peu de vies.

Pendant longtemps on a estimé que la nature était reine,

on n’a pas cherché dans la nature ce qui allait nous reprendre la vie.

Et pourtant, la cause de la majorité de toutes les maladies et de nos souffrances se trouve dans

les dérives de la nature.

On s’est contenté de soigner, ce qui est honorable mais largement insuffisant pour nous préserver de la mort.

A présent, ce ne sera pas un médecin ni le monde de la médecine qui apportera la solution :

  • c’est la technique, la mécanique, qui permettront de le pallier.

Pour ce faire, il n’est pas exclu qu’il faille changer les lois.

La vie, notre vie, n’est pas la propriété d’un monde médical et de tout ce qui en découle.

Nous allons changer les lois, si nécessaire, pour que nous puissions vivre longtemps,

très longtemps, au-delà de 150 ans, en pleine forme sans les accrocs actuels de la vie.

Pour cela, il va falloir accepter que la vie est mathématique, magnétique et électrique, et rien d’autre.

Et les mathématiques, et le magnétisme et l’électricité,

ne sont pas les matières que l’on apprend à la faculté de Médecine.

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