Là où la médecine échoue

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Là où la médecine échoue, la technique prend le relais.

A ce jour, en France, la barre de 100 décès journalier par COVID est franchie. Pour le cancer, c’est 620 morts par jour, et la médecine n’est jamais arrivée à réduire ce nombre depuis un demi-siècle. Pour le cancer,  ce chiffre de 620 morts par jour, c’est été comme hiver, et sans trêve.

Il n’est pas question pour moi de dire que la technique va entraîner une baisse de 20, 30 ou 50% des décès ; ce que je propose, c’est la totalité des décès, tant pour le COVID que pour le cancer, que l’on évitera. Il en sera de même pour les maladies de Parkinson et d’Alzheimer.

Ce que je propose, c’est d’éviter que notre système immunitaire se détruise par les variations de pressions atmosphériques. C’est aussi de retarder l’issue fatale de tous les Français à 150 ans et ce, en pleine forme.

Hier, il y a eu 108 000 nouveaux cas de COVID en France, et nous atteindrons la barre des 200 000 avant Noël.

Tout ce que je propose, c’est de redonner à l’homme l’énergie et la force, ce que la médecine n’est pas parvenue à faire.

Pour information, je rappellerai seulement que le COVID se développe massivement entre 2 et 10 degrés et commence  à s’affaiblir au-delà de 20°.

On ne changera pas la météo, tant pour les températures que pour les pressions. Il faut donc que ce soit la technique qui parvienne, tant à réguler les pressions qu’à éradiquer le virus. Et Hippocrate nous en a donné la solution. Alors ne soyons pas plus royaliste que le roi car cette proposition ne date pas d’hier mais de l’an 439 avant Jésus-Christ où cela a été prouvé.

On commence simplement à réaliser maintenant qu’une cellule meurt quand elle n’est pas dans son environnement normal, et les variations des pressions atmosphériques modifient l’environnement de tout un chacun.

Oui, là où la médecine n’est pas parvenue à résoudre le problème et encore moins à déceler les causes, la technique y est parvenue.

Toutefois, entre la technique et le médical, il y a souvent une montagne à franchir. Il faut donc convaincre, convaincre et convaincre encore.

Les fournisseurs d’uranium

Il a fallu une guerre pour se rendre compte que la Russie était notre fournisseur principal d’uranium. Ce serait peut-être le moment ou jamais de ressortir des archives, les mini centrales au thorium, minerais que l’on trouve partout en Europe, aux États-Unis et en Chine.

C’est peut-être l’heure où il faut choisir entre notre dépendance et notre indépendance. 

On a choisi la solution de facilité et on a rejeté les techniques les plus économiques et les plus rassurantes.

Il faut tout de même rappeler qu’on s’est servi de l’uranium et non du thorium parce que l’uranium conduisait au plutonium nécessaire pour les bombes nucléaires. Aujourd’hui, personne ne se servira d’une bombe nucléaire. Pour la bonne raison que le retour serait immédiat. Même Monsieur Poutine l’a déclaré hier : « on n’est pas fou à ce point », a-t-il dit.

Diversifier nos approvisionnements, c’est valable dans tous les secteurs, que ce soit pour l’uranium, que ce soit pour nos approvisionnements en Chine. La solution de facilité conduit à la perte de la liberté.

Nous avons vu, en Ukraine, le risque que comportaient les grandes centrales nucléaires. Non seulement elles ne sont pas économiques mais elles sont dangereuses. 

Il me paraîtrait sage de revenir au bon sens avec de mini centrales enterrées de petite puissance et dans toutes les villes de France mais aussi dans tous les groupements de village. Cela constituera notre propre sécurité car l’avenir ne nous dit pas aujourd’hui ce que sera demain. On ne s’attendait pas à une guerre en Ukraine et elle est arrivée. On ne s’attend pas à une troisième guerre mondiale, mais elle peut arriver.

Et on a vu, en Ukraine, que le manque d’électricité était un drame qu’il a fallu combler partiellement avec des groupes électrogènes.

Je rappelle, au passage, que produire l’énergie là où elle est consommée découle du bon sens, tant pour le prix que pour la sécurité.

Ces mini centrales seront fabriquées en usine et à la chaîne et, comme pour toutes les constructions automobiles, il y aura l’obligation d’avoir les pièces de rechange pendant 20 ans.

Notre vie dépend de ces décisions : ne pensez-vous pas qu’on puisse y remédier par une simple décision politique ?

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