La molécule miracle

Il est vrai qu’il n’y a pas souvent de miracle… très subjectif, très limité.

Nos chercheurs sont des millions à vouloir trouver la poule aux œufs d’or, cette molécule qui permettra de renforcer notre système immunitaire ou, tout du moins, peut-on l’espérer.

Mais le virus, pas plus que le cancer, ne sont des maladies. Tous deux provoquent des infections quand notre système immunitaire est affaibli. Il serait peut-être utile qu’il ne s’affaiblisse pas tous les ans de 1%.

La molécule ne détruit pas les causes quelles qu’elles soient : ce n’est pas l’objectif poursuivi. Et si l’on détruisait la cause par l’éradication, ne serait-ce pas plus rationnel ? Cette éradication se doit d’être réalisée par un dispositif de la nature, de la lumière, des variations de la pression atmosphérique qu’il faut réguler.

Les causes provoquent des infections et elles proviennent toutes de la nature. Elles proviennent d’une civilisation d’éléments vivants tels que les virus qui voudraient prendre le pouvoir en assujettissant l’homme.

Jusqu’ici on se servait de l’arme nucléaire pour mettre fin aux guerres entre les hommes.

La nature est une arme redoutable, bien supérieure à toutes les forces nucléaires. Les forces de la nature savent s’adapter aux circonstances, aux pays, aux climats.

Cette armée,  il nous faut la combattre afin qu’elle n’attaque pas l’homme. C’est une guerre mondiale qu’il faut mener et ce n’est pas une molécule, quelle qu’elle soit, qui arrêtera la guerre. La molécule est un système défensif très limité.

L’offensive face à cette guerre mondiale ne peut se faire que par l’éradication naturelle et par la régulation naturelle. Tout cela, nous savons le faire sans molécule miracle.

On fait travailler des millions de chercheurs alors que la solution est nos pieds, il suffit de la ramasser et de l’exploiter. L’éradication sera définitive. Et si, un jour, il y avait une autre contre-offensive, on se servirait toujours du même matériel. De plus, contre cette armée mondiale, il faut utiliser partout les mêmes armes.

Non, la santé n’est pas du bricolage.

Pour pouvoir survivre, et l’homme a toujours survécu, la preuve est qu’il est encore là, l’homme a toujours su prendre les moyens naturels.

C’est toujours par l’offensive que l’homme a gagné les guerres, quelles qu’elles soient. Pour survivre, il nous faut utiliser les armes offensives qui supprimeront le mal mais, encore plus, la peur et le doute.

L’hôpital, lieu sacré

L’hôpital est un lieu où l’ennemi ne doit jamais entrer.

Mais, en fait, l’hôpital est devenu un centre de virus qui se promènent au gré du vent. Il y a eu et il y a des maladies nosocomiales qu’on n’a jamais su éradiquer. Si  l’homme entre à l’hôpital, aujourd’hui, il a beaucoup de chance de ressortir avec une autre maladie. Heureusement que 90% des hommes ont un système immunitaire suffisant pour combattre les virus.

Aller à l’hôpital aujourd’hui, c’est réduire notre système immunitaire. Il est impensable que l’hôpital ne soit pas protégé de toute forme de virus. Arrivera un jour où l’on n’osera même plus aller à l’hôpital. Il ne devrait pas y avoir un cm2 de l’hôpital, y compris dans les salles d’attente qui ne soit pas totalement sain.

Il est d’ailleurs curieux que, dans toutes les salles d’opération, les outils et matériels soient systématiquement désinfectés par une lampe à ultraviolets.

Ni les chambres, ni les couloirs, ne sont protégés et on oublie souvent de dire qu’à l’hôpital 1% des malades sont atteints d’une maladie nosocomiale. C’est une maladie au moins aussi grave que celle provoquée par un  virus lambda.

Aujourd’hui, dès qu’il y a un cas de virus, on va à l’hôpital. C’est le seul endroit où il ne faut pas aller. 99% des cas ne nécessitent aucune intervention. Et même si parfois les symptômes existent, de multiples cas positifs n’auront pas de suite grave.

Dans tous ces hôpitaux se démènent corps et âme des infirmiers et des infirmières, au milieu d’une fournaise de virus.

L’État en est responsable et une désinfection générale s’impose aujourd’hui plus que jamais.

Parce que c’est l’invisible qui nous attaque, c’est par l’invisible que l’on doit le détruire. L’ultraviolet ou les appareils d’épuration d’air, à condition que ce soit à base d’ultraviolets, doivent être installés dans tous les secteurs de l’hôpital comme, d’ailleurs, dans toutes les écoles, dans tous les cinémas, dans toutes les administrations, y compris la Chambre des députés.

On ne résoudra pas les problèmes avec tous les palabres que nous entendons tous les jours. La guerre, c’est la guerre, et la seule arme invisible que nous ayons, ce sont les rayons ultraviolets. Je rappelle, au passage, que c’est aussi un produit naturel de décomposition de la lumière.

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