La désinformation, la réalité

Nous ne sommes pas en régime dictatorial.

Quand on achète une baguette de pain, on en connaît le prix et le contenu. Aujourd’hui, quand on ouvre la télévision, on écoute le contenu sans en connaître le prix.

On a toujours un train de retard : ou le train est passé, ou c’est trop tard et inutile, voire dangereux. On nous donne des chiffres tout à fait contradictoires. On voudrait presque qu’il y ait une deuxième vague. Serait-ce pour arrondir les fins de mois des laboratoires !!!

La première idée était la bonne qui était de laisser vivre les Français. Le masque, le dépistage, sont à présent sans intérêt, surtout qu’il faudra deux ans pour dépister toute la population française.

Le coronavirus est fini. Passons à autre chose ! En appliquant ce qui sera toujours nécessaire dans les lieux de vie du virus et quel qu’il soit. Ce n’est qu’une protection sanitaire de ce que nous mangeons et de ce que nous respirons.  On oublie le passé, et l’utilisation des lampes à ultraviolets deviendra une habitude.

La médecine, peut-être ? Le bon sens sûrement. Ne faisons pas avec la désinformation, tout au moins l’information truquée, voire déformée, nous faire prendre pour des pigeons.

Journalistes de tout bord, ne dérivez pas sur l’absurde, ou sur ordre. Nous l’avons déjà connu en d’autres temps, en temps de guerre, cette manière de faire. Mais nombreux sont les journalistes qui s’y étaient opposés et malheureusement qui l’on payé de leur vie.

Aujourd’hui le soleil a fait le ménage sauf là où il ne peut pas rentrer. Alors, agissons pour en recréer les bienfaits et que ces endroits soient aussi soumis à un soleil artificiel, d’une manière intelligente et positive. Ne nous laissons pas couler. Il y a mieux à faire, la vérité gagnera.

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