Il faut des zones franches pour couper l’avancée du Sahara

Il faut obtenir de tous les pays limitrophes du Sahara que les zones pare-feu soient placées dans un système identique à des zones franches. Il faut obtenir que tout le matériel agricole et  industriel nécessaire soit exonéré de taxes à l’entrée dans ces pays ou tout au moins avec des taxes réduites de 50%.

Il faut des zones franches pour couper l’avancée du Sahara
Il faut un contre-feu végétal au désert

Les zones franches comme barrières au réchauffement climatique

Le matériel qui proviendra de l’Europe sera ainsi déduit des subventions dédiées au réchauffement climatique.

En fait, il s’agira d’une forme de leasing donnée à tous ceux qui participeront à la mise en place de ces oasis de très grandes tailles, c’est-à-dire de 100 km sur 2 000 km, qui absorberont les calories en surplus du Sahara.

Bref, pour aller vite, il faut prendre les moyens en faisant en sorte que tout le matériel fonctionne à l’hydrogène. Ce sera déjà une manière de participer à la réduction de la pollution dans ces pays.

Faisons en sorte que l’utilisation de certains pesticides soit remplacée par l’utilisation de pesticides naturels.

Quant à l’énergie qui sera nécessaire pour alimenter les pompes et fabriquer sur place l’hydrogène, il semble que l’on pourrait peut-être utiliser les panneaux solaires mais encore mieux de mini-centrales au thorium.

C’est une technique nouvelle que nous utilisons dans nos pays européens qu’il faut utiliser là-bas, à quelques milliers de km de nous.

Je suis certain qu’il y a des paysans français qui seraient prêts à se rendre sur place pour aider les paysans de ces terres en difficulté. Beaucoup de paysans français, en difficulté actuellement, pourraient y voir une solution à leur problème. Mais il s’agit bien d’une aide et non d’une colonisation.

Pour activer toutes ces barrières écologiques, il faudra plusieurs centaines de milliers de paysans, si possible rodés aux techniques modernes car ces surfaces représenteront près de 10 fois la surface de la France. Elles donneront du travail, dans un premier temps, à plus de 5 millions de travailleurs locaux sachant que d’ici 2050 la population de l’Afrique sera de 2 milliards d’âmes, soit 28 fois la population de la France et 4 fois celle de l’Europe.

Un rêve ? Non, une réalité, une possibilité d’intérêt pour tous y compris pour notre industrie.

La place est donc à nos diplomates ; qu’ils se mettent au travail. C’est cela la vraie écologie de demain pour rétablir l’équilibre naturel des climats.

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