Il faut brûler les virus à vil prix

Si l’on veut en finir avec les virus, il faut les brûler ; aucun vaccin ne tuera les
virus. On peut faire des injections d’anticorps pour soigner et éviter une issue
létale mais il nous faudra recommencer chaque année.
Comme toujours, on est dans la demi-mesure et l’on voit ce que cela donne,
que ce soit en Europe, en Asie ou aux États-Unis, c’est comme pour la guerre :
les demi-mesures n’apportent rien.
Nous savons que les virus réapparaîtront sans cesse et l’on s’y est habitué. Il y
aura sans arrêt de nouveaux variants, que ce soit pour la grippe ou pour le
COVID et pour toute autre grande épidémie, et nous restons passifs face aux
conséquences.
Il en est de même pour le cancer : la cause est dans la nature, il faut réguler
cette dérive mécaniquement. Ce sera l’objet de la valise Hygée.
Il fut un temps où l’on utilisait des radiateurs électriques soufflants ; il serait
utile de les remettre en route.
Dans tous les cas, pour éviter les conséquences des virus ou des dérives de la
nature, il faut prendre la décision ferme de ne plus perdre 1% de notre système
immunitaire chaque année. De toute manière, on s’aperçoit que les
conséquences du virus ou des cancers n’apparaissent dans 99% des cas que sur
des personnes d’un certain âge qui ont déjà perdu une partie de leur système
immunitaire.
Oui, il faut comprendre que l’on est en guerre permanente avec la nature. Il
faut prendre les moyens pour y mettre fin, et nous les connaissons, et ils ne se
trouvent pas dans les laboratoires : ils se trouvent dans la régulation de la
nature. Cette régulation est très peu coûteuse contrairement aux laboratoires
qui, sans résultat, coûtent des fortunes.

Souhaiter la bonne année sans mentir

Il serait plus honnête de souhaiter bon courage, en sachant très bien que cette
année va être difficile. Pourquoi dire bonne année tout en sachant très bien
qu’elle ne sera pas bonne ?
Ne prenons pas nos populations pour des enfants et des incultes ; il faut leur
dire la vérité et les mettre en ordre de marche sur le plan économique, sur le
plan social et pour la paix.
Les épidémies ne sont pas et ne seront pas jugulées et ce, par cupidité. La
pauvreté repartira en flèche et pas seulement là où vous la croyez.
Nous avons des solutions, acceptons qu’elles ne soient pas systématiquement
médicales.
Pendant les guerres, il en est qui se font toujours des fortunes et il y en a
d’autres qui deviennent encore plus pauvres.
Oui, il faut mettre tous les Français en ordre de marche avec courage pour
vaincre ce qui paraissait hier impossible et qui, aujourd’hui, devient possible. Il
va falloir bannir l’incrédulité, la spéculation, la cupidité.
Nos enfants n’iront pas au front excepté ceux qui sont réservistes. Nous avons
suffisamment de soldats face à une petite nation telle que la Russie. Et on ne
peut pas laisser le fruit pourrir.
Nous allons gagner : à quel prix ? Il serait si simple d’adopter les solutions,
qu’elles soient militaires ou civiles, qui mettront fin très rapidement et
définitivement aux guerres, pas seulement aux guerres militaires, mais aussi
aux guerres contre les grandes maladies et les épidémies.
La France n’est pas prête à accepter une nouvelle occupation : c’est à nous de
l’éviter.

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