On dit que l’homme est de peu de foi quand il ne croit pas sans voir ou sans ressentir.
La médecine est sans foi car elle ne croit en rien. La nature est totalement absente de ses registres et pourtant la nature a une telle action sur la vie !
Il y a le chaud et le froid, la pluie et le soleil. Il y a les arbres, les plantes et les arbustes, qui contiennent des antidotes comme dans les écorces. Ainsi que les rayons, que le magnétisme, que l’attraction terrestre et l’influence des planètes et des astres. De plus, il y a tout ce que l’on ne voit pas, il y a tout ce que l’on ne ressent pas. Il y a la puissance et la douceur.
Il y a deux cents ans, on a découvert la pression atmosphérique et demain, la mécanique quantique va nous assurer de grandes surprises.
Ne pas croire en la puissance de la nature, ne pas croire en ses antidotes, c’est refuser la vie.
Oh, la médecine a apporté des connaissances sur la nature humaine, voire sur la mécanique humaine. Malheureusement, elle n’a travaillé que pour faire de l’argent, et aujourd’hui plus que jamais les laboratoires sont devenus de véritables planches à billet.
La médecine ne croit qu’en elle, en ses moyens. A chaque fois qu’elle découvre un médicament, elle affaiblit l’homme, même si ce médicament apporte un certain bien-être.
Si la médecine peut apporter, dans certains cas, des moyens pour neutraliser certaines maladies, elle n’en découvre jamais la cause. Et les causes réapparaissent sans arrêt : ce n’est pas ce que l’on appelle de bonnes solutions.
Bien sûr, on peut contrôler les dérives de la nature mais, pour cela, il faut en connaître les causes. La nature possède, en son sein, tous les antidotes nécessaires pour remplacer les substances chimiques ou biologiques.
L’infiniment petit, l’invisible est le plus facile à neutraliser par des moyens naturels. Si un virus est extrêmement petit et peut faire des dégâts considérables, une tique de la grosseur d’une tête d’épingle est capable d’abattre un homme, mais on peut facilement l’extraire.
Nous avons encore beaucoup à apprendre de la nature et des moyens dont elle est dotée.
Ce qui est curieux en ce qui concerne le climat ou la pollution, c’est qu’on utilisera l’hydrogène pour remplacer tous les autres produits carbonés.
Mais l’hydrogène est un produit naturel. Et pour limiter l’extension des déserts, on n’a pas encore trouvé mieux que de les reboiser, de les replanter, de les remettre en culture.
Il est indispensable d’éviter de porter atteinte à la nature. Les Etats se sont attaqués à toutes les drogues, quelles qu’elles soient, hormis le tabac qui leur apporte gros.
Alors, aujourd’hui, on veut simplement demander à l’humanité de changer de droguiste. On veut demander de prendre les drogues qui rapportent à l’Etat et aux laboratoires pharmaceutiques. Je dirais même que l’Etat s’oppose à de nombreux dispositifs ou produits naturels très peu coûteux et sans effets secondaires. Mais pour tout ce qui est bon marché, la puissance des laboratoires et des conseils scientifiques porte atteinte à leur développement.
On ne pourra plus continuer longtemps à être sous la tutelle de ce Conseil de l’Ordre ou de ces conseils scientifiques.
Les moyens naturels doivent l’emporter, même sur les vaccins qui n’ont jamais réussi à détruire les causes. On les retrouve sans arrêt, qu’il s’agisse de la grippe, des virus, de la tuberculose, de la variole, de la peste, du sida. Ils réapparaissent toujours parce qu’on n’a pas tué la cause.
Je n’oublierai pas dans tout ce plaidoyer la cause des cancers qui relève totalement d’un processus naturel. Et il est vrai que la pression atmosphérique n’a été découverte qu’il y a peu de temps et qu’elle n’a pas intégré la médecine.
On a reconnu comme une évidence cette pression atmosphérique. Par contre, on a oublié que ses variations importantes étaient dangereuses, exactement comme l’eau est dangereuse quand elle arrive à 60°.
Non, décidément, vous ne remplacerez jamais les moyens naturels. Et si l’homme aujourd’hui a du mal à réagir quand il arrive à cinquante ans, c’est tout simplement parce qu’on a détruit 50% de son système immunitaire. Ceci trop souvent à cause de la médecine.
En un mot, la médecine peut soigner et réparer les dégâts mais elle n’évite pas le mal et elle ne le détruit jamais.