Comme un détecteur de fumée, pourquoi ne pas utiliser un détecteur de virus. Un rêve ? Non, on n’y a simplement pas pensé. Et pourtant, ne serait-il pas très utile dans toutes les salles et locaux clos, y compris chez soi ?
On est bien capable de détecter un virus à partir d’un prélèvement dans la gorge, de manière simple avec un résultat quasi immédiat. Le détecteur se doit d’être simple, comme le détecteur de fumée. Quand, dans les laboratoires, on vérifie la positivité du virus sur le prélèvement, on le fait avec un réactif qui change de couleur et permet de voir la positivité du test.
Dans ce prélèvement, il peut y avoir un virus et ce virus vient bien de quelque part, il provient de l’atmosphère ambiante, que ce soit par infimes gouttelettes ou autre. Il suffirait donc, comme pour la fumée, d’en détecter la présence par un dispositif de réactif qui permettrait, par cellule photo-électrique, de déclencher une alarme ou autre.
Ce qui est faisable en laboratoire est tout à fait faisable dans un détecteur. Il suffit d’une capsule avec du réactif liquide ou solide.
Ce ne sera pas facile d’obtenir la fabrication de ces détecteurs car le test actuel rapporte gros et seulement pour une fois, tandis que le détecteur servira en permanence.
L’alarme permettra d’actionner immédiatement les rayons ultraviolets pour tuer le virus dans un espace bien déterminé. Ce n’est pas quand il y a le feu qu’il faut intervenir, c’est avant, en amont, quand il n’y a encore que quelques fumeroles.
Qu’en pensez-vous, Monsieur le Président ? Je crois simplement que personne n’y a pensé car cela n’offre aucune manne financière.
Mais quelle économie et combien de morts en moins, sans avoir à atteindre à l’intégrité du corps ! Finis la peur et le doute.
Alors, courage, Président. Vous aimez les techniques nouvelles. Eh bien en voilà une ; elle découle simplement du bon sens et de l‘évidence.
Six pays en zone bleue dans le monde
Il existe six pays où l’on vit à plus de 100 ans, voire 120 ans, en pleine forme ; la Sardaigne en est un. Il y en a d’autres en Grèce, aux États-Unis et au Japon.
Qu’est-ce que ces pays ont en commun ? Les gens qui y vivent, le sont à une pression atmosphérique en-dessous de 1013, soit en raison de l’altitude pour la plupart, soit dans une zone privilégiée où les pressions ne dépassent jamais 1013 millibars. Ce phénomène doit attirer toute notre attention et je me permets d’affirmer qu’à des pressions ne dépassant pas 1013 millibars, on vit bien, voire mieux, voire plus longtemps.
Dans ces pays, il n’y a pratiquement pas de cancers ni, d’ailleurs, de maladies d’Alzheimer ou de Parkinson. Je pense que les scientifiques feraient bien de s’y pencher.
C’est toute la raison pour laquelle j’ai mis en place un régulateur de pressions à installer dans les chambres à coucher.
Ce dispositif que je propose peut stopper tout développement de cancer même sur les personnes déjà atteintes.
Y aurait-il une opposition à vivre mieux et plus longtemps en pleine forme ? Ce n’est pas impossible car c’est toute notre société qui va devoir changer. On pourra travailler moins longtemps chaque jour, mais beaucoup plus longtemps en années.
On pourra surtout améliorer la productivité et la compétitivité car, quand on est en bonne santé, on produit mieux et plus. Ce sera tout le Code du travail qu’il faudra modifier.
Et ce dispositif doit être mis en place dès notre naissance. Nous ne perdrons plus 1% de notre système immunitaire chaque année. Et la peur des maladies, quelles qu’elles soient, ne sera plus qu’un vaste souvenir. La peur et le doute auront disparu par un simple régulateur de pressions atmosphériques en la réglant à 1013 millibars.
Oui, les variations de pressions atmosphériques, jusqu’à 1040, voire 1050 millibars, sont la cause des cancers par la pression exercée sur notre corps et qui a pour effet de stopper la circulation sanguine dans les micro-vaisseaux. Nos cellules ne sont, dès lors, plus alimentées en oxygène et vont mourir par millions. Notre système immunitaire ne sera pas suffisamment fort pour les digérer. Elles iront donc tout simplement passer dans les organes filtreurs où elles se regrouperont en petits nodules. Que ce soit le cerveau, que ce soit le foie, le pancréas, les poumons ou tout simplement la peau et bien d’autres, ils vont se trouver dans une situation d’infection qui engendrera le cancer.
Quel est le chef d’entreprise qui ne souhaite pas avoir son personnel en pleine forme afin que celui-ci ait une vie totalement différente ?
Ne pensez-vous pas, Monsieur le Président, qu’il serait utile de déclencher cette révolution !