Ils sont, tous deux, l’arme des forts par la dissuasion d’hier et l’arme des faibles
d’aujourd’hui par la lâcheté. Tous deux sont l’arme des prétendus sans courage
et des froussards.
Ce sont les armes qu’utilisent actuellement la Russie et les dictateurs. Ce sont
les ennemis de la liberté. Ce sont trop souvent des copieurs, soit de l‘arme
nucléaire, soit de drones achetés à l’Iran.
Mais le plus dangereux, ce sont ceux qui continuent à discuter avec des
hommes sans foi ni loi et que nous, Français, Européens et Ukrainiens,
subissons de plein fouet.
La France est l’amie de l’Ukraine et non de Poutine. Quand comprendra-r-on
qu’il n’y aura pas de table de discussion pour la paix et que seule la victoire est
au bout du chemin ? Et c’est cette victoire qui imposera la paix.
Sans cela, ce sera la défaite de l’Occident et le triomphalisme de la Russie. Ce
sera la défaite de la liberté et le triomphalisme des dictatures.
Qu’y a-t-il de plus normal que l’Ukraine reprenne son territoire et le défende ?
Les peuples veulent la liberté, que ce soit en Russie ou en Iran et encore plus en
Ukraine, bien sûr.
Quand je songe que ce sont des femmes qui mènent la guerre de la liberté en
Iran, j’admire leur courage.
Ceux qui veulent négocier la liberté sont des pétainistes en puissance. On ne
négocie pas, ni avec Hitler, ni avec Poutine, ni avec les Mollahs, ce ne sont que
des puissances du passé.
Pourquoi le cancer du sein est-il le plus fréquent ?
Les seins d’une femme sont très souples et sont traversés par des millions de
vaisseaux sanguins. La moindre pression peut interrompre la circulation dans
ces vaisseaux.
Ils sont beaucoup plus exposés que tout autre partie du corps aux variations
des pressions atmosphériques et ce, dès que la pression dépasse 1025
millibars.
Le danger dès lors apparaît, d’autant qu’ils font également partie des organes
filtreurs. Et nous savons que la privation d’oxygène des cellules entraîne leur
mort, et l’on verra apparaître rapidement des petits nodules dans les seins.
Les femmes seraient donc plus fragiles que les hommes. Elles sont souvent
victimes d’un cancer du sein qui aboutit très souvent à son ablation.
Il faut être réaliste. La surface extérieure des seins est de 400 cm2 et une
pression supérieure de 10 millibars entraîne une pression de 4 kg sur le sein. Et
à 1040 millibars de pression extérieure, ce sont 12 Kg qui pressurent les seins si
fragiles.
Certes, les cellules ont une réserve d’oxygène mais elle n’est que de 24 heures.
Et, trop souvent, la nature nous attaque avec des variations de pressions de
1040 millibars pendant plusieurs jours.
Mais il existe toujours une solution, c’est de réguler cette pression sur durée de
8 heures par jour, comme pendant le sommeil.
C’est ce que je voulais démontrer.