Ce n’est pas l’homme qu’il faut éradiquer, c’est le virus qu’il faut éradiquer.
Aujourd’hui, on a éradiqué 5 millions d’hommes ; il est peut-être temps d’éradiquer la cause de ce carnage. Ceci représente 1/1 000 de la population mondiale. Cela paraît peu, mais 5 millions de personnes, ce n’est pas rien.
Nos scientifiques se sont trompés de cible, ou plutôt, on choisit les vieux (80% des morts), pour faire de l’or. On ne les a pas tués, certes, mais on les a laissés mourir. On n’a pas évité le virus : on s’est contenté de soigner les conséquences du virus avec plus ou moins de résultats.
Je dis n’importe quoi, n’est-ce pas !!!, en êtes-vous si sûrs. Moi, je constate les faits, les résultats et le seul résultat : c‘est leur tirelire. Je suis insolent, me direz-vous, mais 5 millions de morts pour ne pas avoir fait ce qui devait être fait est une insolence envers l’humanité, c’est une honte envers l’humanité et tout spécialement en ce qui concerne les scientifiques.
Ne pensez-vous pas qu’il faille repartir sur le chemin de l’évidence et pas seulement de remplir des tirelires ? Cela relève de l’incompétence et de l’orgueil. On refuse de réparer les dérives de la nature par des forces naturelles. Je ne suis pas contre les vaccins, ni contre les masques mais cela n’est que bricolage. Je ne dis pas non plus que dans les hôpitaux on n’a pas fait tout ce qui était possible ; les soignants y ont mis toutes leurs forces et toute leur âme, mais c’était un chemin sans issue.
Le problème n’est pas de mettre en cause le nombre de soignants mais de réformer les outils que l’on ne veut pas leur donner.
Je constate que l’on va mettre, tout à coup, dans les hôpitaux des épurateurs d’air ; ce ne sera pas suffisant car personne ne sait réellement comment se transmet le virus. Oui, il faut mettre des épurateurs d’air mais équipés de rayons ultraviolets pour détruire au passage tous les virus qui se trouvent au sol, sur les tables et dans l’air.
Vous avez dit que la peine de mort était abolie ?
Oui, la peine de mort est abolie en France et dans 130 autres pays en qui ce concerne uniquement les tribunaux qui n’ont plus, dans leurs listes de sanctions, la peine de mort.
Mais que fait-on pour abolir la peine de mort engendrée par un virus ou un cancer ? Cette sentence est toujours prononcée faute d’avoir fait le nécessaire en amont pour éradiquer ou réguler les causes. Et ce n’est que par incompétence et par orgueil.
Bien sûr, on y viendra, à l’éradication, un jour ou l’autre, mais combien de sentences auront été prononcées entretemps ? On ne bricole pas avec la vie, on en fait pas des cobayes ou, tout du moins, c’est loin d‘être suffisant.
En attendant, on aura rempli les tirelires de tous les laboratoires et on aura épuisé la Sécurité Sociale. Nous nous sommes contentés, tant bien que mal, de soigner les conséquences. Nous acceptons la peine de mort par défaut et là ce n’est pas de quelques morts chaque années dont il s’agit, ce sont des millions de morts que l’on prononce. Ne pas reconnaître les causes ou les solutions relève tout autant de la honte envers l’humanité.
Certes, on ne fusille plus, on ne guillotine plus, on ne lapide plus, mais il est plus grave : ceux que l’on condamne aujourd’hui à la peine de mort n’ont rien fait de mal. On ne les a simplement pas protégés.
Bien sûr, on les vaccine mais quel est le résultat exact de la vaccination ? Que ce soit, 20, 50 ou 80% de vaccinés, il en restera toujours qui n’échapperont pas à une issue fatale alors qu’ils n’ont rien fait de mal. Alors, est-ce que soigner suffit pour soustraire ces résultats à la honte ? Je ne pense pas, et il faudra en rendre