Bien faire son métier comme agence funéraire, c’est bien. Le faire vivre, c’est plus enrichissant. Il n’y a pas de métier qui ne puisse évoluer.
Évoluer comme agence funéraire
Dans le funéraire, j’ai souhaité faire des funérailles une séquence de vie dans un lieu de vie. Et, à partir de mon métier que l’on associe trop rapidement à la mort, j’ai cherché à faire un atout de vie pour mes concitoyens et pour l’humanité en recherchant tout simplement pourquoi il y avait autant de variations de nombres de décès dans ce métier.
Par hasard, j’ai constaté que mathématiquement la courbe des décès était parallèle à la courbe des pressions atmosphériques. Il fallait donc en déduire un certains nombre de conclusions.
En découvrant, dans les coulisses du mortuaire, le rôle de la pression atmosphérique, j’espère apporter une nouvelle donne pour une vie sans fatigue et qui pourra durer, au moins 120 ans j’espère, en pleine forme.
Alors, vous allez me dire : c’est un rêve. Et dans dix ans vous me direz : c’est évident. Oui, je suis fier d’avoir trouvé le fil conducteur à de multiples maladies comme le cancer, les maladies d’Alzheimer et de Parkinson.
Bien sûr, on peut aussi parler finances en disant que ce sera la solution pour réduire les dépenses de la Sécurité sociale mais moi, j’ai pensé avant tout à l’intérêt de l’humanité.
J’espère, tout simplement, car je sais que rien ne se fait sans économie et sans productivité supplémentaire, que nous allons accroître la productivité de 15 à 20%.
C’est toujours en regardant le ciel qu’on trouve des choses invraisemblables mais en revenant sur Terre, il faut en chercher le pourquoi.
En faisant la liaison avec la pression atmosphérique, je ne pensais pas découvrir autant de raisons de s’y impliquer. Et figurez-vous que j’allais découvrir que la médecine ne s’était pas préoccupée depuis bien longtemps de la pression atmosphérique, comme si c’était un élément anodin. Oui, c’est une évidence naturelle, elle a pourtant énormément de conséquences sur la circulation du sang dans nos cellules mais aussi sur le cœur qui doit travailler beaucoup plus, à certains moments, lorsque la pression atmosphérique est très forte. C’est ainsi dans les courbes de mortalité que j’en découvrais la nocivité.
Et en médecine aussi
Alors, c’est en parlant avec des médecins-chercheurs, que je me suis rendu compte qu’ils connaissaient déjà le cheminement d’un cancer mais n’en savaient pas la cause. Et je me suis rendu compte également qu’ils avaient totalement oublié ce phénomène naturel qu’est la pression atmosphérique.
Et ce n’est pas la pression atmosphérique en elle-même qui tue mais ce sont les variations de la pression atmosphérique au-delà de certaines limites. C’est une véritable tempête qui se produit quand la pression atmosphérique atteint 1040 millibars, avec tous les dégâts que provoque une tempête sur le corps.
On ne peut pas découvrir des faits patents sans en trouver la solution. Elle est pourtant très simple : il faut réguler la pression atmosphérique ressentie par les individus.
Comme quoi une profession si enrichissante soit-elle et si macabre qu’elle soit considérée, peut conduire à plus de vie, à moins de souffrances, à moins d’effets de vieillissement ; ce ne sont pas les femmes qui le négligeront…