Au nom de la loi et du peuple français

Président de la République, Premier Ministre et Ministres, la loi vous  ordonne de désinfecter tous les lieux, publics ou privés.

Des lieux où une personne contagieuse a séjourné, y compris dans les locaux confinés et les locaux réfrigérés.

Le non-respect de la loi est un délit de non-assistance à personne en danger et, au vue de ce délit, il serait du devoir de la police et de la gendarmerie, « au nom du peuple français », de vous arrêter.

Je vous rappelle que vos fonctions actuelles ne vous protègent pas contre un tel délit. Au nom de la loi, vous risquez la Cour d’Assises.

L’utilisation du graal qui permet d’éradiquer le virus (rayons ultraviolets), n’est plus une option ou un choix : c’est une obligation légale.

 APRES L’ENA, LA FACULTE DE MEDECINE

L’ENA ne remplissait plus sa fonction, finalisée par le général de Gaulle.

On y fabriquait des politiques et non des administrateurs capables de modifier l’État en fonction de l’évolution du monde.

A l’ENA, on en sort avec une rente à vie ; c’est ce qu’a voulu changer le Président Macron et c’est aussi ma demande, il y a trois ans, avant la crise des Gilets Jaunes.

La faculté de Médecine doit subir le même sort. Elle ne fabrique plus des médecins et des chercheurs. La Faculté de Médecine forme des médecins pour soigner et rédiger des ordonnances. La faculté de Médecine apprend à soigner et jamais à éviter de soigner en cherchant les causes de la maladie et en inventant les solutions en amont des épidémies.

Les médecins sont des hommes d’après, et non des hommes qui anticipent.

Hippocrate affirmait : «  Quand quelqu’un désire la santé, il faut d’abord lui demander s’il est prêt à supprimer les causes de sa maladie. Alors seulement est-il possible de l’aider ».

Il est vrai que soigner rapporte et qu’anticiper la cause ne réduit que le fonds de commerce. Hippocrate était très sévère sur les potentialités des remèdes, il estimait que l’antidote était dans la nature, et il avait raison.

Chercher, c’est éviter, c’est anticiper, c’est combattre le mal avant qu’il n’atteigne l’homme.

Les médecins ne remplissent plus leur rôle. Et ils se servent de leurs diplômes comme fonds de commerce. L’essentiel n’est plus leur loi.

Il  n’y a pas une seule Faculté de Médecine qui ait pour but de créer des chercheurs de causes et encore moins de solutions.

Il est vrai que des hommes comme Pasteur et Hippocrate sont rarissimes mais il faut, pour le moins, les prendre en exemple.

Oui, il faut réformer les facultés de Médecine de fond en comble. Elles coûtent très cher à l’État et ne forment pas les médecins au service de la  nation et encore moins au service de l’homme.

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