Ceci est valable dans tous les pays du monde où se trouvent des lieux réfrigérés. Dans ceux-ci se développe le virus, été comme hiver.
Ceci est valable pour les pays chauds comme pour les autres. Certes, la chaleur détruit les virus mais si l’on en produit plus qu’il n’en meure, rien ne sera changé.
Il est vrai qu’en France la peine de mort a été abolie mais les virus ne sont pas des humains. Ils sont tout de même bel et bien des espèces vivantes. On tue bien les moustiques, on tue bien les frelons, alors pourquoi pas les virus ? Et ils sont à présent des milliards, bien davantage que la population mondiale.
Ces parasites infiniment petits sont partout et le monde leur ouvre grand les portes. Un seul virus est capable de se multiplier un milliard de fois en une journée. Mais nos scientifiques ont une maladie incurable. Celle de soigner au lieu d’éviter que l’homme ne soit infecté. C’est peut-être à ce niveau-là qu’il faut chercher les raisons pour lesquelles le virus continue à se développer.
Je commence à trouver quelque peu indécent d’entendre à la télévision, chaque jour, que le virus décline un peu.
Mais, en fait, ce sont nous qui déclinons. La vague de froid qui a sévi sur la France va provoquer une courbe exponentielle des cas de virus dès cette semaine. Ceci en raison du décalage, entre la contamination et la déclaration de la maladie infectieuse.
Oui, au lieu de mettre les Français sous cloche, exposons les virus aux rayons ultraviolets et entamons une désinfection générale, comme la loi l’impose après toute pandémie.