À force de jour avec le feu, on finit par s’enflammer et l’on va tout droit au cimetière. Plus tard, on viendra rendre hommage sur les tombes pour ne pas avoir fait ce qui aurait dû être fait et l’on appellera cela un crime sanitaire.
Ceci s’adresse à Monsieur le Président de la République et à ses Ministres qui ont essayé de faire croire aux Français qu’il n’y avait pas de solution.
On aura menti à la France et aux Français comme jamais dans le passé. On aurait pu croire que le gouvernement était possédé par le démon, un démon qui les a rendus aveugles face à l’évidence. Ils nous ont menti par incompétence.
Cette catastrophe de pandémie aura provoqué, à ce jour, 132 000 morts et on oublie les conséquences physiques et les séquelles qui ont fait tant de blessés de guerre de cette pandémie. On aura affaibli la France.
Ils ne sont vraiment pas dignes d’être réélus pour cinq ans. Ils savaient ce qu’il fallait faire. La preuve est qu’aujourd’hui, ils préconisent d’ouvrir les fenêtres dix minutes, toutes les heures. Alors pourquoi ne pas avoir tout simplement éradiqué les virus au lieu de les chasser ? Et, sans orgueil, j’affirme qu’ils étaient prisonniers dans les locaux clos, il suffisait de les éradiquer avec un simple chauffage d’appoint au lieu de les faire passer la fenêtre ; il fallait les faire passer par leur mur de feu pour qu’ils soient grillés instantanément. Il n’y aurait plus eu de variant car l’un est à l’origine du suivant.
Ouvrir les fenêtres ?, et qui va payer l’addition du chauffage nécessaire ? Ce que je propose ne coûtera pas un centime de plus, à personne. Et il est tout aussi facile, avec un appareil de chauffage soufflant de faire passer les virus par le mur du feu plutôt que de les envoyer chez le voisin en ouvrant les fenêtres !
Je ne sais si j’ai réussi à me faire comprendre mais c’est toujours la solution la plus simple qui est efficace.
Messieurs les Ministres et Monsieur le Président, vous avez joué avec le feu. Alors, tant qu’à y avoir du feu, servons-nous de celui qui existe dans les chauffages d’appoint.
Comme si cela ne suffisait pas, vous avez joué avec l’Afrique. Vous n’avez pas été capables de vous faire comprendre ou de faire comprendre les intérêts de la France et de ces peuples. Vous avez laissé les Chinois et les Russes s’installer.
Et ce que vous avez oublié, c’est que sans l’Afrique, sans réussir à cultiver le Sahara, nous finirons par griller par le réchauffement climatique dont le Sahara est la seule cause. Vous n’avez pas su utiliser les mots qu’il fallait avec les Africains pour leur faire comprendre leur intérêt.
Mais où va-t-on et jusqu’où ira-t-on dans la bêtise humaine ? Le problème de l‘Afrique n’est pas un problème d’armes mais de solutions économiques.
Renvoyer les émigrés chez eux après qu’on ait été les chercher, n’est pas la solution.
Et il n’est d’ailleurs pas exclu qu’il faille envoyer des charters pour les faire revenir tant notre potentiel en production de personnels sera déficient car on ne fait plus d’enfants.
Quand comprendra-t-on que sans l’Afrique, il n’y aura pas d’Europe et sans l’Europe, il n’y aura pas d’Afrique ?
Nos dirigeants ne sont pas des patrons ; ils ne savent pas ce qu’il faut faire. Ils sortent de grandes écoles. On leur a peut-être appris à gérer mais pas à construire.
Aujourd’hui, l’Afrique appelle au secours : on lui a donné l’indépendance, il faut à présent lui donner les moyens de l’indépendance. C’est aussi notre intérêt. C’est aussi un marché fabuleux.
Pour parler aux Africains, il faut prendre son temps. Ils n’ont pas toujours la même manière de voir les choses que nous. Mais il faudra bien prendre ce temps-là car nous avons absolument besoin d’eux ; ce qui résoudra aussi les problèmes de l’immigration.
Il va falloir, un jour, parler aux Africains comme on parle aux Européens. Ce sont des hommes et des femmes comme nous qu’on va laisser envahir par des politiques totalitaires, faute d’avoir fait le nécessaire. Là aussi, comme toujours, c’est à la source qu’il faut régler le problème et non pas vu de l’Élysée.
Et la source, c’est l’Afrique avec ses traditions, comme nous avons les nôtres.
Elle a ses religions, ses civilisations. Il nous faut toutefois être vigilants car nous ne souhaitons pas, non plus, changer de civilisation.
La parole de la France est en perdition. Les Grands se parlent entre eux et ne nous parlent plus. J’ose espérer que la venue de Madame Pécresse au pouvoir, et qui parle russe, pourra rapprocher la Russie de l’Europe.
La France n’est pas une nation comme les autres. Elle a souvent eu des idées géniales mais aujourd’hui, les idées géniales sont détruites par quelques-uns qui en détiennent les leviers.