L’homme n’est pas une machine ; il se régénère sans cesse.

Et la dégénérescence n’est pas le fait de la nature. Le cartilage se détruit faute d’alimentation des cellules en oxygène à un certain moment.
Les becs de perroquet constatés sur certaines articulations ne sont que la conséquence de la rupture de la circulation du sang sur l’ensemble du cartilage en question.
Il faut aussi noter qu’au moment des fortes pressions atmosphériques, il y a aussi, du point de vue électrique, une forte tension qui peut provoquer une micro étincelle au niveau des articulations. Comme tout ce qui frotte tel le cardan d’une automobile, il risque de se produire de micro arcs.
La dégénérescence n’est pas crédible car l’arthrose peut se produire aussi bien à 20 ans qu’à 70 ans. C’est curieux : quand on ne sait pas la cause, alors on en invente une.
La vieillesse n’a pas de sens dans un corps qui se renouvelle sans cesse. Les stigmates de la vieillesse apparaissent tous par manque de circulation sanguine. Et le cœur n’en est pas exclu car, lui, souffre d’être sans cesse obligé de se fatiguer pour arriver à ce que toutes nos cellules soient alimentées.
La souffrance provoquée par l’arthrose n’est pas innée : il faut la combattre à sa source c’est-à-dire empêcher les ruptures de circulation.
Je rappelle quand-même, au passage, que les globules blancs naissent à l’intérieur des os dans ce que l’on appelle la moelle et quand on laisse les articulations se dégrader, on nuit aussi à la production des globules blancs.
En fait, se protéger de la souffrance de l’accident, cardiaque ou cancéreux, c’est comme l’assurance : cela coûte moins cher avant qu’après.
Autrement dit, pour l’arthrose, la cause est un problème de circulation et rien qu’un problème de circulation et pour que la circulation se fasse sans interruption, il faut se protéger des variations de pressions atmosphériques.