En appliquant une simple découverte, on va se retrouver avec 30% de moins de morts, chaque année. Moins de grands malades : moins de morts. Moins d’accidents du travail par moins de fatigue. Moins de maladies cardio-vasculaires par la régulation de la circulation sanguine.
L’épilogue de l’hôpital pourrait donc être résolu. Cela vaut
peut-être la peine de comprendre le fonctionnement d’une seule découverte.
Je sais, les crédules seront nombreux, y compris dans le monde médical mais personne n’y avait pensé avant. Alors, pourquoi critiquer ?
Aucune étude n’avait été faite sur le sujet des pressions atmosphériques. Pourquoi ? Tout simplement parce que l’on n’étudie pas l’invisible. On le subit sans le savoir, sans le ressentir. On n’est même pas capable de déceler son chemin qui part dès la naissance.
On va vers la Lune parce qu’on la voit et demain on ira sur Mars parce qu’on la voit.
On voyage pour voir quelque chose de nouveau : paysages, cathédrales, grottes, etc. parce qu’on les voit ; mais l’invisible ne peut produire que de l’invisible. Et à l’invisible, il est difficile d’y croire. Et sil’invisible peut être la cause de notre problème circulatoire, il est nécessaire de l’expliquer vraiment car il s’agit de notre vie et de l’oxygène qui nous fait vivre au travers des 40 000 km de micro vaisseaux sanguins.
Eh oui, ce sont les pressions atmosphériques, l’invisible, qui finira par nous étouffer en étouffant nos cellules et même en les tuant, faute d’oxygène.
Oh, bien sûr, on mourra un jour, mais gagner 30 ou 40 ans de vie est loin d’être négligeable, et le temps, c’est de l’argent, pour vivre en pleine forme.
Se protéger de l’invisible ! quelle drôle de situation mais personne n’y avait pensé.
Il n’est pas question pour moi de s’attaquer aux cyclones et aux anticyclones mais on peut s’en protéger comme du froid et du chaud.
Se protéger de l’invisible est un jeu d’enfant : avec un simple aspirateur, on peut réduire les excès des pressions avec, bien sûr, quelques accommodements.
C’est probablement trop simple pour être vrai mais c’est
toujours le plus simple qu’il est difficile de trouver. Même dans l’art, le
tracé des lignes les plus simples font la beauté de l’œuvre.
26 millions de morts en moins, dans le monde, chaque année,
pourraient être évités. 26 millions de morts, ce peut être aussi 26 millions de
forces vives au travail et en pleine forme.
Tout ceci conduit à un hôpital qui se vide. Le monde médical
et paramédical suffira peut-être à soigner ceux qu’on n’est pas encore arrivé à
protéger.
Les moyens financiers actuellement attribués seront
probablement excédentaires. En tout cas ils pourront être employés à rechercher
la cause des maladies orphelines.
Trop c’est trop. Mais qui va s’en plaindre.
